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sabato 23 gennaio 2016

Présentation du livre Marx & Foucault Lectures, usagis, confrontations

Marx & Foucault - Christian LAVAL, Luca PALTRINIERI, Ferhat TAYLANCher-è-s ami-e-s,
A l’occasion de la publication du livre MaFoucault (La Découverte, 2015), la Société Louise Michel et le laboratoire Sophiapol (Paris Ouest Nanterre La défense) vous invitent à une soirée de discussion en présence des directeurs de la publication (Christian Laval, Luca Paltrinieri et Ferhat Taylan).
La soirée se déroulera le 28 janvier 2016, au restaurant le Lieu dit, 6 rue Sorbier 75020, de 19 heures-21 heures.
Sur le thème : Michel Foucault : quels rapports avec Marx ?
Michel Foucault connaît aujourd’hui une consécration exceptionnelle en France. Cet auteur devenu un incontestable « classique » est aussi un auteur critique qui a entretenu un dialogue ininterrompu avec Marx comme le montrent ses cours au Collège de France et de nombreux propos qu’il a tenus au cours d’interviews ou de discussions publiques. Faisant un usage constant de Marx mais refusant tout dogmatisme qui se réclamerait de sa pensée, les rapports de Foucault à Marx continuent de faire débat.
Cette question ne relève pas du jeu académique. Elle concerne les usages politiques que l’on fait ou que l’on peut faire de Foucault. Elle engage deux grandes questions aujourd’hui : Foucault est-il un penseur anti-marxiste voire franchement néolibéral comme certains le soutiennent ou bien a-t-il plutôt cherché à renouveler et à étendre le type d’analyses critiques qu’avait effectuées Marx en son temps ?
Le rapport Marx-Foucault pose une autre question stratégique  qui hante la gauche radicale depuis longtemps : comment penser les rapports entre la lutte des classes au sens marxien classique et les résistances ou les contre-conduites qui sont aussi nombreuses et diverses que le sont les relations de pouvoir  comme le veut l’analyse foucaldienne ? Disjonctions irréductibles ou bien articulations possibles ?
La discussion sera introduite par Razmig Keucheyan et Arnault Skornicki :
Razmig Keucheyan, Maître de conférences à l’université Paris-IV-Sorbonne, auteur deHémisphère gauche, une cartographie des nouvelles pensées critiques (Zones, 2013) et de La nature est un champ de bataille ( Zones, 2014).
Arnault Skornicki, Maître de conférences à l’université Paris Ouest Nanterre La Défense, auteur de La nouvelle histoire des idées politiques, avec Jérôme TOURNADRE (Repères La Découverte , 2015), et de La grande soif de l’Etat : Michel Foucault avec les sciences sociales, Les prairies ordinaires, 2015.

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Luca Paltrinieri 

Chargé de recherche, CIRPP, CCI-Paris-Idf
Membre du LabTop - CRESPPA,
UMR 7217, Paris 8/Paris Ouest/CNRSDirecteur de programme
Collège International de Philosophie

Chargé de cours, IED, Université de Paris 8

sabato 28 novembre 2015

Etienne Balibar: Siamo dentro la guerra. Da il manifesto 17.11.2015


Risultati immagini per etienne  balibar
Sì, siamo in guerra. O meglio, siamo ormai tutti dentro la guerra. Colpiamo e ci colpiscono. Dopo altri, e purtroppo prevedibilmente prima di altri, paghiamo il prezzo e portiamo il lutto. Ogni persona morta, certo, è insostituibile.
Ma di quale guerra si tratta?
Non è semplice definirla, perché è fatta di diversi tipi, stratificatisi con il tempo e che paiono ormai inestricabili.

giovedì 19 novembre 2015

Il francese e il jihadista – di Bruno Giorgini

Non so se sia una legge della storia ma chi ammazza centinaia di persone inermi è spesso incamminato sulla via della sconfitta. È valso per i nazisti in Europa, per i francesi in Algeria, per gli americani in Vietnam, spero valga per i neri fascisti di daesh.
Che lo stato debba incarnare la volontà di Allah in tutta la sua totalità, è a questo punto ovvio per il nostro francese che ha scelto daesh. Sostituendo «Allah» con l’Essere di heideggeriana memoria, l’analogia con alcune nervature costituenti il pensiero nazista diventa palmare, e si scopre la radice completamente occidentale, del peggiore occidente, propria alla concezione jihadista.

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lunedì 16 novembre 2015

Résistance toujours! Dehors les fachos!

A Lille, a Metz e in altre città francesi le manifestazioni spontanee contro la strage di Parigi hanno contestato e respinto le frange dell’estrema destra identitaria che cercavano di diffondere odio con lo slogan «Espelliamo gli islamici!». Qui e qui dei video.
Anche a Bologna gli sciacalli «identitari» non sono mancati. Forza Nuova ha fatto una rapida comparsata in Piazza Maggiore. La leghista Lucia Borgonzoni ha commentato su facebook:
«Fermiamo il folle progetto che vuole cercare di “integrare” chi ci odia, chi ci vuole sterminare, non basta pregare per queste vittime, è giunta l’ora di intervenire, siamo in guerra».
E nel coro degli sciacalli non poteva mancare il neroazzurro Galeazzo Bignami:
«Continuiamo pure a rinunciare alla nostra identità europea e cristiana, continuiamo pure a dire c….te come che il Natale non va festeggiato, continuiamo pure con queste cavolate dell’integrazione».
È un fatto che obbiettivo della strage sia stata proprio la Parigi multiculturale e multietnica che non piace agli sciacalli «identitari» di ogni credo e colore.
E vale per l’ISIS come per la Lega Nord ciò che Mauro Baldrati ha scritto su Carmilla commentando la tetra manifestazione leghista dell’8 novembre a Bologna:
«Combatterli sullo stesso piano è un processo perdente. È indispensabile trovare nuove modalità, nuovi stili. Una tesi negativa, una tesi reazionaria non si può riformare dall’interno. È una delle principali riflessioni di Antonio Gramsci dal carcere. Una tesi reazionaria si può solo cancellare, e sostituirla con un’altra. E non accadrà mai che una tesi negativa sia abbattuta da un’altra tesi negativa. L’unica salvezza, l’unica resistenza, è quella di opporre la vita alla morte. La gioia all’odio e alla paura»


       Résistance toujours! Dehors les fachos!
                                                                          by  novembre 16, 2015

mercoledì 4 novembre 2015

programme de: Marx & Fulcault Lectures usages, confrontations 18-20 décembre 2014 Archive


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Colloque International “Marx &confrontations”Paris Ouest et Lycée Henri IV

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De Foucault à Marx, se tisse un rapport complexe qui ne cesse de produire des effets d’interprétation, de luttes, de critiques. L’objet de ce colloque est triple :
– saisir les enjeux des lectures foucaldiennes de Marx et de son rapport aux différents marxismes ;
– mesurer les déplacements produits par la pensée de Foucault sur la compréhension et l’actualisation de Marx ;
– mieux comprendre comment ces deux pensées sont mobilisées dans les luttes pratiques, dans le renouvellement de la critique sociale, dans l’invention politique de « mondes nouveaux ».
La première partie sera consacrée au rapport difficile, contrasté que Foucault a entretenu avec Marx et la tradition marxiste. On partira des années 1950, tentant de comprendre le rapport du jeune normalien au PCF, à Althusser, à Sartre, à Merleau-Ponty. Ensuite, on tentera de saisir son détachement progressif du marxisme humaniste dans les années 1960, ainsi que l’opération de relativisation de la figure épistémologique de Marx dans les Mots et Les Choses. En revanche, on pourrait évoquer un rapprochement avec la tradition marxiste, basée sur une certaine lecture de Marx, au début des années 1970, notamment dans le cours La Société Punitive qui vient d’être publié. De cela résulte une réélaboration des thèmes de la production, de l’histoire, de l’accumulation, du capital physique et humain, qui trouve son expression dans un livre comme Surveiller et Punir. Mais d’autre part, l’évolution de la seconde moitié des années 1970 implique également des critiques ouvertes des différents marxismes alors en vogue, tel que le freudo-marxisme ou le maoïsme. L’objectif de cette première partie est de faire le point sur toutes ces oscillations qu’on pourrait détecter à l’intérieur de l’œuvre de Foucault par rapport à Marx et au marxisme.
La deuxième partie du colloque se penchera sur les effets que produit la lecture de Foucault sur l’interprétation de Marx. De nouvelles lectures de Marx s’appuient ainsi sur des concepts mobilisés par Foucault (discipline, surveillance, dispositif, biopolitique, gouvernementalité, subjectivation). L’étude des formes variables de pouvoir, la place et les types de « lutte » dans les processus politiques, la réinterprétation des phases du capitalisme à partir des formes de gouvernementalité, tout cela participe d’un « effet Foucault » sur la compréhension de Marx sur lequel nous ferons le point.
La troisième partie du colloque s’intéressera aux tentatives de conjugaison, d’hybridation et d’articulation des analyses de Marx et des travaux de Foucault dans la critique sociale actuelle et dans les mouvements sociaux. Il s’agira dans cette dernière partie d’explorer les champs de luttes et les thématiques critiques qui mobilisent Marx et Foucault. Si la référence foucaldienne a été liée historiquement à l’émergence des luttes « extra-économiques », « sociétales » ou culturelles, qui ne trouvaient pas chez Marx les points d’ misteri d'italia,appui nécessaires, elle s’articule aujourd’hui à l’analyse marxienne de l’organisation capitaliste et à la critique des formes de pouvoir typique de la mondialisation. Quelles sont les formes de ces articulations, quelle en est la productivité, quelles en sont les limites ?
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Dates et lieux :
Jeudi 18 décembre 2014  :
Université Paris Ouest Nanterre La Dense

Bâtiment B, salle des conférences
200 avenue de la République 92001 Nanterre
Vendredi 19 décembre 2014 :
Université Paris Ouest Nanterre La Défense
Bâtiment B, salle des conférences
200 avenue de la République 92001 Nanterre //  Plan du campus de Paris Ouest
Samedi 20 décembre 2014 :
Lycée Henri IV, Salle des conférences
23 Rue Clovis, 75005 Paris // Plan d’accès
Entrée gratuite sur inscription en complétant le formulaire ci-dessous..
Organisation et contact :
Christian Laval
Luca Paltrinieri
Ferhat Taylan
Dans le cadre des activités du Collège International de Philosophie et du laboratoire Sophiapol (Université Paris Ouest Nanterre La Défense), avec le soutien du Centre Michel Foucault.
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PROGRAMME

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Jeudi 18 décembre
– Foucault lecteur de Marx –

Université Paris Ouest Nanterre La Défense
Bât. B, salle des conférences
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Matin : 9h30-12h30
PrésidenceEmilie Hache
9h30 Ouverture : Christian Laval, Luca Paltrinieri, Ferhat Taylan
10h00-10h30 Christian Laval (CIPh/Sophiapol, Paris Ouest Nanterre La Défense
La productivité du pouvoir »

10h30-10h45 Discussion
Pause
11h00-11h30 Rudy Leonelli (Università di Bologna) : « Foucault lecteur du Capital »

11h30-12h00 Alberto Toscano (Goldsmiths, London) : « Of Sub-Powers and Surplus-Profits: Money, Capital and Class-struggle in Foucault »
12h00-12h30 Discussion
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Après-midi 14h15-18h
Présidence : Mathieu Potte-Bonneville
14h15-14h45 Jean-François Bert (IRCM, Université de Lausanne) :
« Cartographier les marxismes avec Foucault : les années 1950 et 1960 »

14h45-15h15 Manlio Iofrida (Università di Bologna) : « Michel Foucault entre Marx et Burckhardt : esthétique, jeu, travail »
15h15-15h45 Roberto Nigro (CIPh/ZHDK Zurich) : « Communiste nietzschéen. L’expérience Marx de Foucault »
15h45-
Discussion

Pause
16h30-17h00 Ferhat Taylan (CIPh/Université Bordeaux III) : « La place de Marx : des Mots et les Choses à La Société punitive »
17h00-17h30 Hervé Oulc’hen (BelPD-COFUND, Université de Liège) : « Stratégie et praxis : Foucault et Sartre lecteurs des enquêtes historiques de Marx »
17h30-18h Discussion
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Vendredi 19 décembre
– Marx après Foucault –
Université Paris Ouest Nanterre La Défense
Bât. B, salle des conférences
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Matin 9h30-12h30
Présidence: Frédéric Gros
09h30-10h00 Emmanuel Renault (Sophiapol, Paris Ouest Nanterre La Défense) : « Domination, exploitation, pouvoir »
10h00-10h30 Federica Giardini (Università Roma 3) : « Ordres et désordres. Symbolique, production, reproduction »
10h30-10h45 Discussion
Pause
11h00-11h30 Antonio Negri : « Marx après Foucault : la subjectivité retrouvée »
11h30-12h00 Pierre Dardot (Sophiapol, Paris Ouest Nanterre La Défense): « De la praxis aux pratiques »
12h00-12h30 Discussion
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Après-midi 14h15 – 18h
Présidence: Christian Lazzeri
14h15-14h45 Laurent Jeanpierre (LabTop-CRESPPA Paris 8/CNRS) : « Que faire des circulations? Une autre confrontation entre Marx et Foucault »
14h45-15h15 Guillaume Sibertin-Blanc (Erraphis, Université Toulouse II – Jean Jaurès) : « L’historico-politique et le bio-politique. Retour sur le schéma de la lutte de classe au prisme de la généalogie foucaldienne »
15 h15-15h45 Yoshiyuki Sato (Graduate School of Humanities and Social Sciences, University of Tsukuba) : « Gouvernementalité et économie : le problème de l’État chez Foucault et Marx »
15h45-16h15 Discussion
Pause
16h30-17h00 Diogo Sardinha (CIPh, Paris) : « L’enjeu du nominalisme et la lutte contre la métaphysique »
17h00-17h30 Jacques Bidet (Sophiapol, Paris Ouest Nanterre La Défense) : « Marx et Foucault recyclés l’un par l’autre »
17h30-18h00 Discussion
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Samedi 20 décembre 2014
– Marx avec Foucault : actualités, luttes, critique –
Lycée Henri IV
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Matin 9h00-12h15
09h00 Mots de bienvenue de Patrice Corre, Proviseur du Lycée Henri IV et Diogo Sardinha, président de l’Assemblée collégiale du Collège International de Philosophie
Présidence : Isabelle Bruno
09h30-10h00 Pierre Sauvêtre (Sophiapol, Paris Ouest Nanterre La Défense) : « Altérer le monde : penser les luttes avec Marx et Foucault »
10h00-10h30 Isabell Lorey (EIPCP, Berlin): « Foucault, Actuality, History. Aspects of Presentist Democracy »
10h30-10h45 Discussion
Pause
11h00-11h30 Stéphane Haber (Sophiapol, Paris Ouest Nanterre La Défense) : « Marx, Foucault et la question de l’entreprise comme institution »
11h30-12h00 Massimiliano Nicoli (Filolab, Trieste) & Luca Paltrinieri (CIPh/LabTop-CRESPPA Paris 8/CNRS): « Qu’est-ce que une critique transformatrice ? Contrat psychologique et normativité d’entreprise »
12h00-12h15 Discussion
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Après-midi (14h15- 16.30)
Présidence : Philippe Combessie
14h15-14h.45 Judith Revel (Sophiapol, Paris Ouest Nanterre La Défense) : « Subjectivation, conflictualité, organisation : Foucault et autres hérétiques »
14h45-15h15 Julien Pallotta (IFCS-UFRJ, Rio de Janeiro) : « L’effet Althusser sur Foucault : de la société punitive à la théorie de la reproduction »
15h15-15h30 Discussion
Pause
15h45-16h30 Conférence de clôture: Étienne Balibar (Paris Ouest Nanterre La Défense/Kingston University, London) : « L’anti-Marx de Michel Foucault »




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4 réponses

  1. pascal
    Bonjour,
    Existe-t-il une captation sonore, vidéo ou des actes ?
    Merci d’avance,
    Pascal
    • Marion Forest
      Bonjour,
      Une publication doit paraître à la fin de l’année ou début 2016.
      Bien cordialement,
      Marion Forest

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Rudy



















giovedì 1 ottobre 2015

Valerio Marchi: La morte in piazza


Libro Red Star Press

Indagini, processi e informazione sulla strage di Brescia
A cura di Silvia Boffelli. Postfazione di Saverio Ferrari

La mattina del 28 maggio del 1974, alle ore 10 e 02, una bomba collocata in un cestino dei rifiuti e azionata da un comando a distanza esplode a Brescia sotto i portici di piazza della Loggia mentre è in corso una manifestazione contro il terrorismo di destra organizzata dai sindacati e dal Comitato Antifascista. Il bilancio dell’attentato, rivendicato da un'organizzazione neofascista, è drammatico: otto morti, centodue feriti e una città destinata per sempre a fare i conti con una ferita aperta nella sua storia e nella sua memoria.
Ricostruendo la dinamica di quello che resta un evento centrale nella strategia della tensione, con la quale vennero represse le istanze di cambiamento provenienti dalla società italiana, Valerio Marchi affronta con coraggio il modo in cui la tragedia è andata incontro a strumentalizzazioni politiche di comodo ed ad altrettanto interessati fenomeni di oblio mentre, con il loro contributo, Silvia Boffelli e Saverio Ferrari portano la narrazione nel cuore della contemporaneità, affrontando il nodo dello stragismo fascista, perennemente al servizio di ambigui comitati d'affari. Un libro indispensabile per comprendere le dinamiche del terrore e gli strumenti con cui diventa possibile utilizzare la paura per consolidare interessi sporchi e scandalosi giochi di potere.

Collana: Unaltrastoria
Pagine: 360
Formato: 13x20
Isbn: 9788867180813
Prezzo: 22 Euro

domenica 17 maggio 2015

[Gorizia] sab 23 mag h.15: manifestazione antifascista


Riceviamo e condividiamo:

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Sabato 23 maggio i fascisti di CasaPound saranno in corteo nazionale (!) a Gorizia con lo slogan «risorgi combatti vinci» per ricordare in modo orrido il centenario dell’entrata in guerra dell’Italia.
Le antifasciste e gli antifascisti rispondono con la mobilitazione di una manifestazione promossa dall’Osservatorio Regionale Antifascista del Friuli Venezia Giulia
e dunque
SABATO 23 MAGGIO 2015
MANIFESTAZIONE ANTIFASCISTA a GORIZIA
con concentramento in Piazzale della Stazione Ferroviaria
alle ORE 15.00

giovedì 30 aprile 2015

O Gorizia tu sei maledetta




La mattina del cinque d'agosto
si muovevan le truppe italiane
per Gorizia, le terre lontane
e dolente ognun si partì

martedì 21 aprile 2015

con le armi strappate al nemico fu nella insurrezione e all'avanguardia alla riconquista della sua libertà. 1943-1945


città partigiana

il 21 aprile 1945
i partigiani liberano Bologna





Piazza Nettuno

   Risultati immagini per lapide ai caduti per la libertà bologna

 settembre 1943  -  aprile 1945
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Sacrario ai Caduti per la Libertà


lunedì 20 aprile 2015

La Resistenza difficile

    Istituto Parri

    Produzioni

    Lunedì 20 aprile ore 17.30

    La Resistenza difficile
     
    presso la sala dell'ex-Refettorio, ingresso da via S. Isaia 20



    Presentazione dei libri
    Il caso Facio di Luca Madrignani
    e
    La penultima verità di Luigi Colombari

    ne discutono con gli autori

    Alberto Preti, Luca Alessandrini e Luca Madrignani


    lunedì 23 febbraio 2015

    Ribelli in paradiso,"Sacco, Vanzetti e il movimento anarchico negli Stati Uniti"- un libro di PAUL AVRICH

    Martedì 24 febbraio ore 19.00

    Ribelli in paradiso
    Sacco, Vanzetti e il movimento anarchico negli Stati Uniti

    un libro di PAUL AVRICH
    A cura di Antonio Senta


    Ne discutono Antonio Senta e Andrea Cavalletti

    A partire dal celebre caso di Sacco e Vanzetti, i due anarchici “giustiziati” nel 1927, Avrich ci offre un intenso spaccato dell’America di inizio 900. I protagonisti delle vicende narrate sono i lavoratori, spesso italiani, quasi sempre anarchici, che vivono sulla propria pelle l’oppressione dei padroni, delle polizie private e dello stesso Stato, colpevole di difendere e legittimare lo sfruttamento capitalista attraverso le sue leggi. Un’analisi storica chiara e dettagliata della battaglia che vide fronteggiarsi il capitalismo americano e gli emigrati italiani, donne e uomini che all’America avevano affidato le speranze per un riscatto sociale da troppo tempo atteso.

    Paul Avrich (1931-2006). Considerato forse il massimo storico dell’anarchismo nasce a New York da una famiglia originaria di Odessa. Compie studi in Russia che lo porteranno alla stesura di The Russian Anarchists (1967) e Kronstadt, 1921 (1970). Rientrato a New York insegna al Queens College e si interessa alla storia degli anarchici negli Stati Uniti. Tra le sue opere, pubblicate dalla Princeton University, ricordiamo Anarchist Voices: An Oral History of Anarchism in America (1995) e naturalmente Sacco and Vanzetti, The Anarchist Background, oggi tradotto per la prima volta in Italia.


    MODO INFOSHOP
    via Mascarella 24/b
    40126 - Bologna
    tel. 051/5871012
    info@modoinfoshop.com
    www.modoinfoshop.com
    www.facebook.com/ModoInfoshop

                        [Storie in movimento]

    mercoledì 11 febbraio 2015

    Martiri delle foibe: un po' di chiarezza Quando a celebrare le tragedie della storia sono quelli che le hanno causate.




    Ormai ogni anno si dedicano celebrazioni a questo argomento sempre più di matrice neofascista con parate inquietanti in Lombardia come in altre parti d’Italia. Interveniamo oggi per dire la nostra opinione critica. E crediamo che sia il caso di tornare ad affrontare in maniera un po’ più approfondita questo tema.
    Nel 2004 il governo di centrodestra, con l’avallo del centrosinistra, stabilì di celebrare il 10 febbraio (anniversario del Trattato di pace che nel 1947 aveva fissato i nuovi confini con la Jugoslavia) una “Giornata del Ricordo” per celebrare “i martiri delle foibe e dell’esodo istriano, fiumano e dalmata”. Una ricorrenza situata a dieci giorni dalla “Giornata della Memoria” (istituita nel 2000 per il ricordo dalla Shoah e di tutte le vittime e i perseguitati del nazifascismo). In questi anni il senso comune ha portato a fare di tutto un polverone, cosicché si parla correntemente di “foibe” come “olocausto degli italiani”.
    Noi riteniamo che in tutto questo ci sia un’operazione di confusione e di ribaltamento dei fatti. L’obiettivo di raggiungere una “memoria condivisa” attraverso una specie di “par condicio della storia”, per la quale ricordiamo “tutte le vittime”, nasconde i giudizi di valore sulle responsabilità storiche specifiche, in particolare quelle del regime fascista italiano in collaborazione con il nazismo tedesco. Chi ha provocato le tragedie della seconda guerra mondiale e chi, dopo averle subite, ha reagito, diventano la stessa cosa.
    Oggi, correntemente, con il nome di “foibe” ci si riferisce a due periodi distinti: in Istria dopo l’8 settembre del 1943, fino all’inizio dell’ottobre dello stesso anno, e a Trieste nel maggio 1945, dopo la liberazione da parte delle truppe partigiane jugoslave (ufficialmente alleate del fronte antinazista) e durante i 42 giorni di amministrazione civile della città. In questi due periodi, secondo la vulgata corrente, un numero imprecisato di persone, comunque “molte migliaia”, sarebbero state uccise solo perché erano di nazionalità italiana e poi “infoibate”, ossia gettate nelle cavità naturali presenti in quelle zone. Si tratterebbe di una “pulizia etnica”, di un “genocidio nazionale”. La responsabilità principale viene in genere attribuita ai “titini”, ossia ai partigiani jugoslavi comunisti. Chi propone un esame critico di questa versione viene chiamato “negazionista” o, ben che vada, “riduzionista” (usando quindi le stesse categorie utilizzate per chi nega o sminuisce la Shoah).